Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la torpille

Je vous avais expliqué dans A la recherche du col perdu que j’avais décidé de me mettre à poser des stérilets (DIU).

Grâce à des bonnes influences, notamment celle du Docteur Gécé, j’avais pris mon courage à deux mains (gauches) pour m’y mettre et après plus d’un an, c’est pas encore toujours facile, mais je progresse.

Ce qui m’avait décidé, c’est quand on m’avait parlé de la méthode de pose directe dite de la torpille.

Je l’ai trouvé beaucoup plus simple que la méthode traditionnelle et cela m’a encouragé à m’y mettre.

J’y vois deux avantages principaux: la manipulation est beaucoup plus simple, moi qui n’ai jamais réussi à mettre un tampon avec applicateur et surtout il n’est pas nécessaire de poser une pince sur le col, appelée Pozzi ,ce qui est beaucoup moins douloureux pour les patientes.

Je me pose donc toujours la question « Mais pourquoi? »

Pourquoi cette méthode n’est elle pas plus répandue?

Après réflexions, recherches et concertations, ma conclusion est toujours la même: parce que ce n’est pas la méthode que les médecins ont apprise, et le seul obstacle semble-t-il est qu’il n’y a pas eu d’études sur le sujet.

En effet il y a très peu de travaux sur le sujet.

Donc justement, une amie a fait un excellent travail sur ce sujet et je voulais vous en faire profiter. Elle a réalisé un mémoire qui reprend l’essentiel des connaissances sur cette méthode ainsi qu’une brochure et une vidéo qui sont un parfait résumé.

Je la remercie de son travail et de me laisser le partager ici.

Donc tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la méthode de pose directe des DIU dite torpille, grâce à ma géniale copine lori, c’est ici:

Le mémoire: DIUposedirecte-mémoire

La brochure :

Brochure

Brochure (imprimable)

et la  vidéo  ici

 

9 réflexions au sujet de « Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la torpille »

  1. Votre article m’interpelle car il pointe un problème assez récurrent. Souvent les méthodes ancestrales, bien que douloureuses ou inutiles, résistent aux nouvelles méthodes plus douces et plus adaptées. J’ai été choqué par exemple lors de l’accouchement de ma femme, à plusieurs reprises nous avons entendu « c’est la procédure » ou « c’est comme ça, n’avez pas le choix »…

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